Selon les découvertes révolutionnaires récentes faites par les scientifiques médicaux, l'anorexie, un trouble alimentaire qui a longtemps été pensé pour être causé par l’inclination des femmes à ressembler à des célébrités top modèles maigres peut en effet être développée avant la naissance et est donc expliquée par des facteurs génétiques et la chimie du cerveau plutôt que simplement par le désir d'arrêter de manger et perdre du poids.
Dommages aux neurotransmetteurs du cerveau qui aident les cellules à communiquer ont été détectées chez 70% des malades entre 12 et 25 ans ayant reçu des soins pertinents dans les hôpitaux privés d'Edimbourg et de Maidenhead. Par ailleurs des dysfonctionnements similaires dans les communications neuro dans le cerveau sont diagnostiqués chez les personnes dyslexiques, dépressives ou hyperactives.
La vulnérabilité aux facteurs de risque communément connus pour les troubles alimentaires est postérieure à ces changements, typique d'une femme dans toutes les quelques centaines. Cela ne peut pas être simplement mis au point par les seuls facteurs sociaux, comme le désir irrésistible de perdre du poids pour émuler "les femmes de haute profile dans les médias", a annoncé les scientifiques lors d'une conférence à l'Institut de l'Education, Université de Londres.
Dr Frampton a souligné que l'approche précédente se révèle être fausse dès que presque tout le monde est exposé à des facteurs sociaux, mais le pourcentage de jeunes qui refusent de manger jusqu'à ce qu'ils développent l'anorexie est plutôt négligeable.
La recherche contredit les concepts traditionnels de la science médicale sur l'anorexie et peut résulter en un accès révolutionnaire pour la compréhension de la nature de l'anorexie et de son traitement qui a toujours été un défi.
Le développement de médicaments pour traiter l'anorexie n'est pas loin. Selon Susan Ringwood, chef de la direction de Beat, la charité des troubles alimentaires, médicaments anti-dépresseurs pour normaliser le fonctionnement du cerveau humain ont été créés dans la même manière que le remède potentiel contre les troubles alimentaires. Alternativement, des procédures telles que le dépistage prénatal ou natal peut être mis en œuvre par les médecins pour évaluer le risque d'être prédisposé et augmenter les chances de récupération.