Les scientifiques de l'université de Toronto (Canada) sont venus avec une conclusion que la violence physique subie par les femmes dans l'enfance a un effet important sur l'activité de leur système nerveux à l'avenir. En particulier, les experts affirment qu'il s'agit d'un trouble fonctionnel somatique, comme le syndrome de fatigue chronique.
Il est connu pour être manifesté dans les symptômes d'une fatigue accrue et de l'apathie qui sont des problèmes répandus chez les femmes modernes. Selon les chercheurs, les femmes qui ont avoué les cas de violence physique dans les premières années de leur vie, ont démontré près de deux fois plus de risques d'avoir de tels symptômes, qui sont également associés à une sensibilité accrue aux produits chimiques. En outre, ces représentants du beau sexe sont marqués par une moyenne de 65% plus de chance pour développer la fibromyalgie. Ces résultats sont pertinents, même après la considération des autres facteurs négatifs.
Pendant l'expérience, l'équipe de médecins dirigée par le professeur Joan Schulman observait un total de 7342 femmes, dont 10% ont été victimes de violences physiques dans l'enfance. La principale caractéristique du syndrome de fatigue chronique est que ses symptômes restent, même après une longue période de repos. En conséquence, les femmes deviennent extrêmement émotionnelle, sont sujettes à des sautes d'humeurs et sont incapables de s'acquitter pleinement à leurs activités physiques quotidiennes.